mardi 26 avril 2011

L'ancienne champignionnière de Loches

Souliers oubliés ?

Ce sont en l'occurrence les chaussures de travail des ouvriers Lochois, que les champignons, peu à peu, doucement, grignotent au fil du temps.

vendredi 22 avril 2011

L'ancienne champignionnière de Loches

D'anciennes inscriptions remontant parfois à fort loin. Celle-ci était sur le plafond, ce qui n'est pas courant.

Le 8 juin 1920.

jeudi 21 avril 2011

L'ancienne champignionnière de Loches

En voilà un de champignon qui a fait son petit chemin.

dimanche 17 avril 2011

L'ancienne champignionnière de Loches

D'anciens artefacts oubliés dans les ténèbres du labyrinthe.

samedi 16 avril 2011

vendredi 15 avril 2011

L'ancienne champignionnière de Loches

Les galeries principales étaient indiquées par une lettre. Notez que les murs sont très sombres derrière, ce sont les marques de champignons qui ont rendu l'atmosphère sombre.

mercredi 13 avril 2011

L'ancienne champignionnière de Loches

Sous Loches se trouve un vaste réseau de carrières ayant été recyclées pendant un temps en champignonnières. L'ensemble est assez uniforme et redondant, mais ça ne nous a pas empêchés de s'amuser. C'est effectivement un véritable labyrinthe, Lionel étant particulièrement doué en plus pour trouver les petits passages de la mort qui nous emmenaient encore plus profondément dans le dédale.

lundi 11 avril 2011

La Cathédrale de Sens : Le Chant de Noël (2)

Et voilà, l'épopée de Sens se termine sur ces images : la volée du matin de Noël sous la lumière du soleil. Un dernier regard sur les deux Belles avant de partir.

mardi 5 avril 2011

La Cathédrale de Sens : Le Chant de Noël (1)

"Et lentement elles s'ébranlèrent. Insensiblement ces pierres découpées se voilèrent, je ne les vis plus qu'à travers un nuage formé par une poussière d'or, semblable à celle qui voltige dans les bandes lumineuses tracées par un rayon de soleil dans une chambre. Au sein de cette atmosphère vaporeuse qui rendit toutes les formes indistinctes, la dentelle des roses resplendit tout à coup. Un tremblement caressant disloqua l'édifice, dont les frises se remuèrent avec de gracieuses précautions."
 Honoré de Balzac, Le Rêve de Jésus-Christ en Flandre.

Au premier coup, la neige reposant sur les cloches se dispersa dans un souffle indistinct. C'était un son grave, frémissant. La Savinienne annonçait aux habitant de Sens et bien plus loin la naissance du Christ.

Un spectacle à la fois terrifiant et majestueux. Les bourdons s'envolaient, touchant presque le toit, avec une rapidité surprenante. Le beffroi tanguait sous la masse des deux Belles. Ici, on voit bien le battant frappant le haut de la pince.